Pas facile d’être supporter de foot. Non seulement il faut supporter le bon club, mais en plus, il faut pouvoir justifier son « supportérisme ». Le débat fait souvent rage sur Twitter, Facebook, ou dans les cours d’école, ce qui revient plus ou moins au même. « Tu supportes quel club, toi ? Et depuis combien de temps ? » Les supporters parisiens ou lyonnais, entre autres, reconnaîtront certainement des situations vécues.
On a toujours peur d’être qualifié de « faux supporter », de « mauvais supporter », ou encore de « footix ». Tout ça parce qu’on n’a pas choisi le bon club ou qu’on apprécie plusieurs équipes. Mais c’est quoi être un bon supporter ? Doit-on être derrière le club de sa ville ? Si j’habite dans la Creuse (ça peut arriver), pour quelle équipe dois-je être ? Faut-il être un ultra pour supporter un club ?
Heureusement, le Yaourt du Sport vient vous aider et va vous permettre de répondre à LA question qui vous taraude : quel club faut-il que je supporte ? Une petite infographie qui vous éclairera quelle que soit votre situation.
Quelle équipe dois-je supporter ?
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Un match amical, contre une équipe moins bien classée que le Cap-Vert, en semaine, pendant les heures de bureau… Comment ne pas se régaler ? En effet, l’équipe de France se déplaçait à Saint-Pétersbourg, pour y affronter la Russie, hôte de la Coupe du monde 2018. Après la brillante prestation contre la Colombie, les Bleus avaient à cœur de briller dans ce dernier match avant la liste des 23 de Deschamps. Après cette victoire 3-1, qui a marqué suffisamment de points pour retourner en Russie cet été ? Qui s’est suffisamment ridiculisé pour retourner chez sa mère cet été ? Le Yaourt du Sport vous livre les notes des Bleus pour ce Russie – France (1-3) !
Russie – France (1-3) : Les notes des Bleus
Les notes de Russie – France
Lloris (6) : Un arrêt d’Hugo Lloris en équipe de France (15e). Je répète : un arrêt d’Hugo Lloris en équipe de France. Ceci n’est pas un exercice.
Hernandez (3) : Pour compenser le forfait de Mendy et la mise au placard de Kurzawa, il est pratique, Hernandez. Et on sent qu’il est né pour être vivant.
Umtiti (4) : Apparemment, il était encore resté au bureau. S’il veut de nouveau avoir des bonnes notes, il va falloir qu’il soit dans le rythme et qu’il joue juste. Il en va de l’harmonie de l’équipe. Remplacé par Kimpembe (80e), premier joueur de l’équipe de France à porter le délicieux prénom de Presnel. Continuer la lecture →
C’est le retour des notes de l’équipe de France ! Ils nous avaient manqué, nos Bleus. Les voilà de retour dans les meilleures conditions : un match amical contre la Colombie, ce vendredi 23 mars 2018, au Stade de France. Et retransmis sur TMC, ce qui prouvait l’importance de l’événement. Mais il ne s’agissait que d’un apéritif, enfin d’un before, avant la Coupe du monde 2018, qu’on espère suivre sur IDF1 ou Vivolta. Dans un stade bien ambiancé par les danseurs et danseuses de salsa, la France s’est inclinée 3-2 face à des Colombiens pourtant menés par un tigre sans griffe et un Carlos sans chaise. Le Yaourt du Sport vous livre les notes des Bleus pour ce France – Colombie (2-3) !
France – Colombie (2-3) : Les notes des Bleus
Les notes de France – Colombie
Lloris (4) : Un bon choix de gardien sur MonPetitGazon, version Premier League. Même si ça ne vaut pas un bon Régis Gurtner. Ils ont d’ailleurs la même note moyenne. Mais Gurtner, lui, n’aurait pas laissé passer ce but (28e) et aurait arrêté le penalty (85e). #Régis2018
Digne (4) : Entre Hernandez et lui, apparemment, il faut s’appeler Lucas pour être appelé en Bleu pour le couloir gauche. Vivement qu’on naturalise Lucas Ocampos. Remplacé par l’autre Lucas, Hernandez (76e), qui s’est déclaré ravi de découvrir ce fascinant pays qu’est la France.
Umtiti (3,5) : Rend hommage à son coéquipier, Koscielny, en provoquant un beau penalty, option arrachage de cheville (85e). Il semblerait que Deschamps ait arrêté ses choix pour la défense centrale. On lui souhaite d’avoir raison, sinon il devra prendre Laporte. Continuer la lecture →
Si vous aimez la Ligue 1 et si vous aimez vous ajouter de la pression devant un Strasbourg – Amiens, vous connaissez sans doute MonPetitGazon. Mon Petit Gazon, MPG pour les intimes, c’est le jeu le plus populaire (sondage réalisé auprès des salariés du Yaourt du Sport) de Fantasy League consacré à la Ligue 1. Autrement dit, le jeu vous met dans la peau d’un Qatari qui veut créer une équipe de Ligue 1 de toutes pièces, avec un budget de 500 M€ (ouais, c’est pas le plus riche des Qataris, il était déjà pris), et la faire s’affronter contre celles de ses camarades émiratis. Vous constituez donc une ligue avec vos potes et vous les affrontez avec votre propre équipe à chaque journée de championnat. Pour les battre, une seule philosophie, que ne renierait pas Franck Passi : marquer plus de buts que votre adversaire. Et ce sont les performances IRL (« In Real Life », en vrai quoi) des joueurs que vous avez sélectionnés qui vous permettront de marquer des buts ! D’où l’importance de bien les choisir.
Car toute saison de MPG qui se respecte commence par une étape cruciale, la préférée de Gérard Lopez : le mercato MonPetitGazon. Vous disposez d’une enveloppe de 500 millions d’euros pour constituer votre Dream Team d’au moins 18 joueurs (30 maximum), via des enchères. Chaque joueur de Ligue 1 possède en effet une cote, qui est le prix minimum auquel vous pouvez l’obtenir, et vous pouvez faire une offre, en espérant que vous aurez la plus élevée pour empocher la mise. Comme dans la réalité, c’est là qu’une grande partie de la saison se joue. Vous dépensez bien et vous vous retrouvez avec Mariano ou Aouar. Vous vous plantez et vous vous retrouvez avec Monnet-Paquet ou Dioussé. Donc faisez gaffe.
Quand tu te retrouves avec les mauvais joueurs au mercato MonPetitGazon
Pas de panique, rangez cette vilaine offre de 50 M€ pour Cardinale, on va vous aider. S’il y a nécessairement une part de chance, il existe quelques bons tuyaux pour réussir son mercato MPG. Et on commence avec les derniers remparts… Le Yaourt du Sport vous donne ses astuces pour bien recruter ses gardiens de but à MonPetitGazon.
A quoi sert un gardien dans une équipe MonPetitGazon ?
Vous voyez à quoi sert un gardien de but en général (si non, vous êtes sûr de vouloir jouer à un jeu consacré au foot ?) ? Ben là, c’est pas pareil. Continuer la lecture →
Plus que quelques jours avant Noël et vous ne savez pas quoi offrir à votre neveu/copain/sœur/match Tinder fan de foot et de jeux vidéo ? Vous pensiez lui offrir FIFA 18 ou PES 2018, mais à la réflexion, vous vous êtes dit que 50€, ça faisait cher et pas original ? Vous, vous voulez surprendre, vous aimez être là où on ne vous attend pas, offrir des cadeaux inattendus mais mémorables, vous déguiser en citrouille pour Noël et boire du vernis ! Rassurez-vous, je vous comprends (tout du moins, je ne vous juge pas). Le Yaourt du Sport vous livre le Top 5 des jeux vidéo de foot rétro les plus marrants ! Que des jeux insolites auxquels j’ai réellement joué à l’époque. Et 5 idées idéales pour un cadeau de Noël de dernière minute, pour un nostalgique de l’époque des jeux vidéo vraiment marrants et du « foot, c’était mieux avant, sans le business ».
« Innternachionaul Souperstar Sokeur… DILEUXE ! » Sorti en 1997 sur Playstation, ce jeu est en quelque sorte un ancêtre des PES actuels. Une fonctionnalité courante à l’époque était la possibilité de désactiver les fautes. On pouvait alors s’en donner à cœur joie, avec des tacles par derrière ou des gros coups d’épaules de bourrin (vers 0:58 dans la vidéo). Mais on pouvait aussi jouer à deux dans la même équipe et se tacler entre coéquipiers ! De grands moments de fraternité. Parmi les autres possibilités, à noter : effectuer le toss en début de match, choisir le nombre de joueurs avant chaque rencontre (on pouvait jouer à 11 contre 5), écouter les commentaires d’une grande variété et une ambiance dans les tribunes aussi agréable qu’un concert de 2000 vuvuzelas. Vous remarquerez aussi dans la vidéo la présence d’un chien sur le terrain. Je ne m’en souvenais pas, mais il s’agissait apparemment d’un « cheat code » pour que l’arbitre ait cette apparence. Peut-être une manière de faire tomber le masque.
« Ih Eille Spotse… Tseuneugueïme ! » Le tout premier FIFA, sorti en 1993. Bon, on est loin du rendu visuel actuel, mais à l’époque, c’était assez fou. Notez que vous pouviez encore faire le toss en début de match. Apparemment, c’était LE truc indispensable pour un jeu de foot. Moi-même j’avais qu’une hâte : « vivement que j’achète un jeu à 400 balles pour pouvoir faire un pile ou face ! » On pouvait aussi désactiver les fautes, mais il fallait bien sûr les laisser pour ce qui a fait la légende ce jeu : en cas de carton, on pouvait… courir pour échapper à l’arbitre. Et ça pouvait durer longtemps, en témoigne cette vidéo. S’en suivra un FIFA 95, resté célèbre pour ses « cheat codes », qui permettaient notamment de marquer de la tête du milieu de terrain.