Qui va gagner Wimbledon 2013 ?

Les grands favoris de WImbledon 2013

Les favoris de Wimbledon 2013

Wimbledon, version 2013, démarre dès demain, lundi 24 juin ! Je ne sais pas si au Royaume-Uni, cela implique la même baisse de productivité que Roland Garros en France, mais quoi qu’il en soit, le tournoi s’annonce prometteur cette année, notamment chez les hommes ! Alors qui pour succéder à Roger Federer et Serena Williams ? Après avoir frôlé le 100% de pronostics exacts pour Roland Garros, le Yaourt du Sport remet le couvert pour analyser les favoris du tournoi et répondre à une seule et unique question : qui remportera Wimbledon 2013 ?

Chez les hommes, sur le gazon londonien, qui du Big 4 sera le plus vert ?

Voilà quelques années que l’on parle d’un Big 4 dans le tennis masculin, composé de Federer, Nadal, Djokovic et Murray. A eux quatre, ils ont remporté 29 des 30 derniers tournois du Grand Chelem (l’exception s’appelle Juan Martin Del Potro à l’US Open 2009). Et cette fois encore, Wimbledon ne devrait pas échapper à l’un des ces quatre fantastiques…

Roger Federer, honneur au champion sortant. 7 titres à Wimbledon, 87% de victoires en carrière sur gazon et une victoire récemment au tournoi de Halle… Le Suisse présente des atouts convaincants. Pour autant, à bientôt 32 ans, « Rodgeur » ne semble plus forcément en mesure de disposer de ses plus farouches adversaires. Il n’a d’ailleurs remporté pour l’instant qu’un seul titre cette année. Mais s’il y a bien un tournoi où Papy peut faire de la résistance, c’est bien celui-ci, son jardin comme on le dit souvent. Ce serait une belle image, mais ce serait aussi une surprise. Sa probabilité yaourt de gagner : 10%. Continuer la lecture

Qui va gagner Roland Garros ?

Les grands favoris de Roland Garros 2013

Les favoris de Roland Garros 2013

Bonne nouvelle pour les amateurs de tennis et mauvaise nouvelle pour le taux de productivité des entreprises : Roland Garros, opus 2013, a démarré ce dimanche ! Ainsi, durant les deux prochaines semaines, tout le monde, ou presque, se posera le même question : qui succèdera au palmarès à Rafael Nadal et Maria Sharapova ? Le Yaourt du Sport, qui a déjà prouvé sa pertinence en matière de pronostics et vous a déjà donné le classement ATP 2013 final, vous livre son analyse des favoris et répond à la question : qui remportera Roland Garros 2013 ?

Chez les hommes, Nadal est-il redevenu imbattable ?

Rafael Nadal, forcément candidat à sa propre succession. Le septuple vainqueur de Roland Garros est nécessairement un gros client à la Porte d’Auteuil. Et en plus, il arrive en pleine confiance avec un retour en 2013 couronné de succès : 8 tournois disputés, 8 finales, 6 titres. Preuve que le Taureau de Manacor est chargé comme une mule ? Quoi qu’il en soit, de toute sa carrière (!), l’Espagnol n’a perdu qu’une seule fois à Roland Garros et Söderling n’est pas là cette année… Quasiment invincible sur terre battue, Nadal n’est pas pour autant notre favori n°1… Sa probabilité yaourt de gagner : 40%. Continuer la lecture

Ski alpin 2012-2013 : les forces en présence !

Lindsey Vonn - Maria Riesch - Tina Mze - Tessa WorleyLa Coupe du monde 2012-2013 de ski alpin a commencé depuis à peine un mois qu’on peut déjà tirer quelques enseignements des premières courses. Des enseignements qui permettent petit à petit de répondre à LA question que tout le monde se pose : qui succédera à Lindsey Vonn et Marcel Hirscher dans la quête du gros globe de cristal ?

Et si vous vous demandez ce qu’est ce « gros globe de cristal », petit rappel. La Coupe du monde de ski alpin comporte cinq disciplines : la Descente, le Super G (dites épreuves de vitesse), le Slalom Géant, le Slalom (dites épreuves techniques) et le Combiné (épreuve alliant une descente et un slalom). Chaque discipline possède son propre classement par points. Les points sont attribués en fonction du classement du skieur à chaque course : 100 points pour le premier, 80 pour le deuxième… A la fin de la saison, le coureur ayant remporté le plus de points dans une discipline remporte le « (petit) globe de cristal » de la spécialité. On établit également un classement général de la saison en additionnant les points des classements de chaque discipline. Celui qui arrive en tête de ce classement remporte le « gros globe de cristal » de la saison.

Maintenant que tout est clair entre nous, revenons à notre saison 2012-2013. Quels skieurs et skieuses faut-il suivre cette année ? Qui seront les plus réguliers ? Qui pourra fièrement exhiber ses globes à la fin de l’hiver ? Le Yaourt du Sport décrypte pour vous les favoris de la Coupe du monde 2012-2013 de ski alpin et dévoile ses pronostics…

Chez les hommes, on cherche un patron

Depuis les retraites de Maier, Eberharter, Aamodt ou les disparitions (sportivement parlant, je vous rassure) de Bode Miller, Carlo Janka ou Benni Raich, le ski alpin masculin peine à retrouver un leader incontestable. A titre d’illustration, les deux derniers podiums du classement général de la Coupe du monde comptent six skieurs différents. On a tant de mal à distinguer une hiérarchie nette dans le ski masculin que certains grincheux évoquent un flou con de neige, mais malgré tout, quelques noms semblent se détacher de cette avalanche de candidats à la victoire finale.

Le premier d’entre eux, c’est Aksel Lund Svindal, un des skieurs les plus polyvalents de ces dix dernières années. Quoique souvent absent en slalom, sa réussite en épreuves de vitesse et ses belles performances en géant et en combiné pourraient permettre au grand Norvégien d’accrocher un troisième gros globe de cristal. Au début de la saison, je ne voyais même pas qui pouvait l’en empêcher, si ce n’est son physique qui lui joue parfois des tours. Il serait notre favori n°1 s’il n’y avait pas… Continuer la lecture

Masters ATP : les forces en présence

Masters : A qui le tour ?Demain, lundi 5 novembre, s’ouvre le dernier grand tournoi de tennis masculin de l’année : les Masters de tennis masculin de Londres, ou ATP World Tour Finals, ou Masters Cup comme on l’appelait avant. Beaucoup de mots pour simplement désigner le tournoi qui regroupe les 8 meilleurs joueurs de l’année. Ces derniers sont séparés en deux poules, dont les deux premiers sont qualifiés pour les demi-finales, sous forme d’élimination directe, suivies de la finale. Ce tournoi est évidemment un grand moment de la saison et couronne généralement le tennisman qui a le mieux résisté à une année éprouvante. On peut déjà affirmer que Nadal n’a lui pas bien résisté puisqu’il est indisponible depuis Wimbledon et ne sera donc pas présent cette semaine… Le Yaourt du Sport décrypte pour vous les forces en présence pour ces Masters 2012 et vous livre ses pronostics.

On commence par le Groupe A, le plus relevé

Novak Djokovic (n°1 mondial) : Le Serbe laisse l’impression d’une année 2012 mitigée. Et pourtant, c’est loin d’être ridicule : victoire à l’Open d’Australie, finale à Roland Garros et à l’US Open, l’assurance de finir n°1 mondial… Mais il avait tellement survolé l’année 2011 que cela semble insuffisant ! Peut-être attendait-on qu’il reste au même niveau tout en remportant aussi des titres en double mixte… Quoi qu’il en soit, le « Djoker » arrive à Londres après un Open de Paris raté où il s’est fait sortir dès son entrée en lice par Sam Querrey. D’aucuns disent qu’il serait tourmenté par des soucis d’ordre personnel… On n’en sait rien, mais le fait est que malgré cette baisse de régime, il est clairement un des plus sérieux favoris de ce tournoi. Sa probabilité yaourt de gagner : 35%

Andy Murray (n°3 mondial) : La « révélation » de la saison. Bien sûr, nous n’avons pas découvert Andrew (et oui, c’est ça son vrai prénom, il s’appelle André finalement !) cette année, mais 2012 restera comme la première année où il aura réussi à s’imposer dans des tournois majeurs. On le croyait toujours maudit après sa défaite épique face à Federer à Wimbledon, mais il a pris sa revanche aux Jeux Olympiques face au Suisse, avant de s’imposer à l’US Open. Alors « Angry Murray » une machine inarrêtable en cette fin d’année ? Pas vraiment. Depuis l’US Open, pas un titre, et même une élimination précoce à Paris-Bercy face au phénomène polonais Jerzy Janowicz… Difficile donc de savoir quel état forme affichera Andy dans un tournoi qu’il disputera pour la quatrième fois… 2012, l’année Murray ? Sa probabilité yaourt de gagner : 30% Continuer la lecture

Tour de France : les forces en présence

C’est demain, samedi 30 juin, que s’élancera le 99è Tour de France. Au programme, un parcours qui fait la part belle aux rouleurs puisqu’une centaine de kilomètres de contre-la-montre sont au programme ! Ce profil atypique et les non-participations d’Alberto Contador et d’Andy Schleck ont quelque peu rebattu les cartes… A quelques jours du grand départ de Liège, le Yaourt du Sport décrypte pour vous les coureurs à suivre : pour la victoire finale, pour les sprints et pour ce qu’on appelle les « victoires au panache » (comprenez : les coureurs qui n’ont pour ambition que de remporter une victoire d’étape, au mieux le maillot à pois de meilleur grimpeur).

Tour de France insolite

Victoire finale : le maillot jaune pour un pur rouleur ?

Commençons par les deux noms qui, pour l’heure, se détachent assez nettement.

Cadel Evans (BMC) : L’Australien, tenant du titre, figure parmi les grandissimes favoris à sa propre succession. Depuis son titre de champion du monde en 2009, il est indéniable que le coureur âgé de 35 ans a franchi un palier. Très bon rouleur, bon grimpeur, n’hésitant plus désormais à attaquer (c’est ce qu’on lui reprochait beaucoup dans le passé), il semble avoir toutes les armes pour arriver encore aux Champs-Elysées avec le maillot jaune… Enfin presque. Une nouvelle fois, son point faible, c’est son équipe. Qui pour l’accompagner en montagne ? Burghardt, Moinard, Van Garderen, Hincapie ? Même si on ne doute pas de leur dévotion pour leur leader, cela semble un peu juste, comparé à d’autres… Une chance pour lui que le Tour ne se coure pas encore en tandem. Sa probabilité yaourt de gagner : 70%

Bradley Wiggins (Sky) : On ne parle que de lui, en particulier depuis qu’il s’est imposé sur le Critérium du Dauphiné devançant notamment… Cadel Evans ! On savait que c’était l’un des meilleurs rouleurs du monde (vice-champion du monde en titre de contre-la-montre), il a aussi prouvé, depuis 2009, qu’il savait également grimper et suivre les meilleurs (4è du Tour de France 2009, 3è de la Vuelta 2011, vainqueur du Dauphiné en 2011 et 2012, du Tour de Romandie et de Paris-Nice en 2012 !). Et lui arrive à Liège avec une sacrée armada ! Michael Rogers (2è du Dauphiné), Christopher Froome (4è du Dauphiné, 2è de la Vuelta), Richie Porte (9è du Dauphiné)… Il y aurait eu un CLM par équipe, je crois que la victoire lui était quasi assurée. Cependant, j’ai la sensation que le Britannique et ses coéquipiers auront été en forme un peu tôt et qu’ils ne seront pas assez frais pour le Tour. A voir. Sa probabilité yaourt de gagner : 60%

Les outsiders sérieux :

Tony Martin (Omega Pharma) et Denis Menchov (Katusha) : On en parle moins, mais ces deux-là ont vraiment un coup à jouer sur ce parcours. Tony Martin est champion du monde en titre de contre-la-montre, donc de ce côté, ça devrait aller. Mais pourra-t-il suivre en montagne ? Pas sûr, mais je pense qu’il pourra compter sur une équipe qui sera à son service et pas à celui de Levi Leipheimer, qui selon moi est à moitié cramé. Il pourra aider son coéquipier allemand, au même titre que les Français Chavanel et Pineau. Menchov n’a pas, lui, une équipe extraordinaire, en revanche, il vient d’être sacré champion de Russie de CLM. 2è du dernier Tour de France qu’il a couru (2010), le Russe est souvent placé, mais jamais gagnant. Pour l’instant. C’est la bonne cette fois ? Leur probabilité yaourt de gagner : 40%

Les outsiders à suivre :

Vincenzo Nibali (Liquigas), Ryder Hesjedal (Garmin) et Jurgen Van den Broeck (Lotto) : Tous les trois sont des bons rouleurs, des bons grimpeurs et possèdent une équipe intéressante (Basso (même si je doute de sa capacité à se muer en « coéquipier ») et Szmyd pour Liquigas, Danielson et Vande Velde pour Gamin, Roelandts et Vanendert pour Lotto). Mais chacun a une bonne raison de ne pas remporter le Tour. Nibali a déjà fait un gros début de saison et je ne sais pas si son association avec Basso est une aide ou un handicap. Hesjedal vient de remporter le Giro et je le vois mal faire le doublé. Van den Broeck est jeune et on l’encense pas mal, mais finalement, il n’a jamais rien gagné. Des valeurs sures pour le top 10, mais pour la victoire finale, c’est une autre paire de manches ! Leur probabilité yaourt de gagner : 20%

Les « outsiders » dont on parle, mais en fait, on n’y croit pas une seconde :

Fränk Schleck (Radioshack)Samuel Sanchez (Euskatel)Robert Gesink (Rabobank), et Rein Taaramäe (Cofidis) : 3è l’an dernier, Fränk Schleck a été promu leader de son équipe, profitant (ou pas) du forfait de son frère Andy. Sans son frère, en conflit presque ouvert avec la direction de son équipe, et avec la caravane qu’il traîne pendant les CLM, je vois mal comment il pourrait ne serait-ce qu’accrocher un podium. J’estime à 80% ses chances d’abandonner pendant le Tour. Même s’il ne démérite pas dans l’exercice du contre-la-montre, Sanchez paraît tout de même trop juste pour l’emporter et demeure trop marqué grimpeur pour une édition qui ne l’exige pas. Top 5 envisageable. Quant aux deux derniers, ils sont tous les deux bons grimpeurs et rouleurs, mais ils sont sans doute encore trop jeunes pour viser si haut. Gesink n’a pas encore remporté grand-chose et son équipe n’est pas bluffante. Taaramäe, lui, est estonien et appartient à une équipe française. Soyons sérieux… Leur probabilité yaourt de gagner : 5%

Tous les meilleurs sprinteurs du monde sont là

Quel plateau ! La bataille sera féroce dans les sprints massifs et dans la course au maillot vert, même si on sait déjà que certains n’iront pas au bout de la Grande Boucle pour se consacrer aux JO.

Mark Cavendish (Sky) sera bien évidemment encore LE sprinteur favori pour les arrivées en peloton groupé, mais n’ira sans doute pas jusqu’aux Champs pour la conquête du maillot vert (en vue des JO). La Sky semble bien décidée à jouer sur tous les tableaux ! Le champion du monde en titre devrait être bien lancé lors des sprints massifs, au moins par Bernhard Eisel, très rapide également. En ce qui me concerne, j’espère qu’Edvald Boasson Hagen ne sera pas trop au service du Britannique et qu’il aura l’occasion de tenter sa chance. Attention d’ailleurs au Norvégien qui est un très bon rouleur et qui grimpe pas si mal. Pas de quoi viser un podium, mais il ne sera peut-être pas très loin du top 10.

– Les Allemands André Greipel (Lotto) et Marcel Kittel (Argos) seront également redoutables et disposent déjà de références face à Cavendish ! En effet, ils l’ont tous les deux battu, aux Pays-Bas, lors du fameux Ster ZLM Toer ! Certes, le Britannique a remporté le classement général, mais il n’aura remporté aucun sprint massif, au contraire des deux Allemands. Kittel aura même remporté deux étapes. Et ce dernier n’a que 24 ans ! Leur équipe respective sera sans doute moins puissante, mais s’ils prennent la roue de Cavendish, il faudra bien les surveiller !

– Les Australiens Mark Renshaw (Rabobank) et Matthew Goss (Orica) ont également prouvé qu’il faudrait compter sur eux. Tous les deux anciens « poissons-pilotes » de Mark Cavendish, il leur tient à coeur de montrer qu’ils ont les qualités d’un leader. Sur le Ster ZLM Toer, Renshaw a réussi à devancer le Britannique à deux reprises, sans toutefois remporter d’étape. Il n’en reste pas moins véloce et sera l’atout principal de la Rabobank en plaine, puisque l’équipe néerlandaise n’a pas daigné emmener Lars Boom, pourtant vainqueur d’un sprint sur le Ster ZLM Toer devant… Cavendish ! Matthew Goss, lui, est vice-champion du monde en titre (derrière Cavendish si vous avez suivi) et a devancé le Britannique (bon, il avait chuté…) lors de la troisième étape du Giro, qu’il a remportée. Son équipe, Orica-GreenEDGE, étant moins ambitieuse, il en est le leader et pourra compter sur l’apport non négligeable de sprinteurs comme Baden Cooke ou Stuart O’Grady, tous deux anciens maillots verts du Tour !

– Enfin, on parle moins d’eux, mais il ne faudra pas les oublier : Tyler Farrar (Garmin)Peter Sagan (Liquigas), Alessandro Petacchi et Grega Bole (Lampre). Un peu moins en vue cette année, Farrar a tout de même battu une fois Cavendish l’an dernier sur la Grande Boucle (3è étape). L’Américain a peut-être tout misé sur le Tour cette année. Il pourra compter sur Rob Hunter pour l’épauler. A 22 ans seulement, Sagan représente l’avenir du sprint mondial : trois étapes de la Vuelta l’an dernier, cinq étapes du Tour de Californie ou quatre étapes du Tour de Suisse cette année, son palmarès est déjà long comme une ordonnance médicale de Lance Armstrong (c’est gratuit, je l’admets). Placé cette année dans plusieurs classiques, il va peut-être arriver rincé à Liège. Sans doute dangereux quand même. Enfin, petit choc des générations à la Lampre : Alessandro Petacchi, 38 ans, contre Grega Bole, 26 ans. L’un a l’expérience et a remporté deux étapes et le maillot vert en 2010, l’autre a la jeunesse mais encore peu de grosses références (Grand Prix de Plouay l’an dernier…). Pas certain que cette concurrence soit tout à fait saine.

Petit pronostic yaourt pour le maillot vert : André Greipel.

Enfin, on gardera un oeil, plus ou moins attentif, sur eux

Je ne les vois pas se battre pour un podium ou pour un maillot distinctif (peut-être le maillot à pois pour certains), mais ils ont chacun leur mot à dire pour une victoire d’étape sur leur terrain de prédilection (que ce soit la plaine en échappée, la montagne ou le contre-la-montre). Voici la liste, que l’on pourrait enrichir : Alexandre Vinokourov (Astana) (pas à la retraite celui-là ??!), Oscar Freire (Katusha), Michele Scarponi (Lampre), Alejandro Valverde (Movistar), Simon Gerrans (Orica), Fabian Cancellara (Radioshack), Thomas Voeckler et Pierre Rolland (Europcar) (oui, malheureusement, ce sont bien les seuls Français dont j’aurais parlé, le champion de France, Nacer Bouhanni n’étant même pas là… Je compte surtout sur Pierre Rolland en montagne et pour aller chercher un top 10, même si ce sera très compliqué sur ce parcours pour lui. Voeckler lui parvient toujours à se montrer, mais il serait utopique de penser qu’il peut rééditer son exploit de l’an dernier).

Bon Tour à tous ! On se retrouvera régulièrement pour faire le point et voir dans quelle mesure on se sera bien planté sur ces pronostics !

B.