Top 5 des jeux de foot rétro les plus fun

Plus que quelques jours avant Noël et vous ne savez pas quoi offrir à votre neveu/copain/sœur/match Tinder fan de foot et de jeux vidéo ? Vous pensiez lui offrir FIFA 18 ou PES 2018, mais à la réflexion, vous vous êtes dit que 50€, ça faisait cher et pas original ? Vous, vous voulez surprendre, vous aimez être là où on ne vous attend pas, offrir des cadeaux inattendus mais mémorables, vous déguiser en citrouille pour Noël et boire du vernis ! Rassurez-vous, je vous comprends (tout du moins, je ne vous juge pas). Le Yaourt du Sport vous livre le Top 5 des jeux vidéo de foot rétro les plus marrants ! Que des jeux insolites auxquels j’ai réellement joué à l’époque. Et 5 idées idéales pour un cadeau de Noël de dernière minute, pour un nostalgique de l’époque des jeux vidéo vraiment marrants et du « foot, c’était mieux avant, sans le business ».

5. ISS Deluxe (Playstation)

« Innternachionaul Souperstar Sokeur… DILEUXE ! » Sorti en 1997 sur Playstation, ce jeu est en quelque sorte un ancêtre des PES actuels. Une fonctionnalité courante à l’époque était la possibilité de désactiver les fautes. On pouvait alors s’en donner à cœur joie, avec des tacles par derrière ou des gros coups d’épaules de bourrin (vers 0:58 dans la vidéo). Mais on pouvait aussi jouer à deux dans la même équipe et se tacler entre coéquipiers ! De grands moments de fraternité. Parmi les autres possibilités, à noter : effectuer le toss en début de match, choisir le nombre de joueurs avant chaque rencontre (on pouvait jouer à 11 contre 5), écouter les commentaires d’une grande variété et une ambiance dans les tribunes aussi agréable qu’un concert de 2000 vuvuzelas. Vous remarquerez aussi dans la vidéo la présence d’un chien sur le terrain. Je ne m’en souvenais pas, mais il s’agissait apparemment d’un « cheat code » pour que l’arbitre ait cette apparence. Peut-être une manière de faire tomber le masque.

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4. FIFA International Soccer (Megadrive)

« Ih Eille Spotse… Tseuneugueïme ! » Le tout premier FIFA, sorti en 1993. Bon, on est loin du rendu visuel actuel, mais à l’époque, c’était assez fou. Notez que vous pouviez encore faire le toss en début de match. Apparemment, c’était LE truc indispensable pour un jeu de foot. Moi-même j’avais qu’une hâte : « vivement que j’achète un jeu à 400 balles pour pouvoir faire un pile ou face ! » On pouvait aussi désactiver les fautes, mais il fallait bien sûr les laisser pour ce qui a fait la légende ce jeu : en cas de carton, on pouvait… courir pour échapper à l’arbitre. Et ça pouvait durer longtemps, en témoigne cette vidéo. S’en suivra un FIFA 95, resté célèbre pour ses « cheat codes », qui permettaient notamment de marquer de la tête du milieu de terrain.

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Top 5 des blessures les plus stupides du foot

Les blessures idiotes, tout le monde connaît ça. Se faire mal aux côtes en tombant sur le dossier d’un banc alors qu’on s’était mis debout dessus ; vouloir tirer dans un ballon et finalement se fracasser l’orteil contre un canapé ; sauter du haut d’une falaise et se fracturer une vertèbre… Il ne s’agit là évidemment que d’exemples fictifs, et pas du tout des blessures débiles qui me seraient arrivées au collège ou encore une mésaventure qu’aurait connue un très bon ami en vacances en Italie et qui ne se reconnaîtra donc pas. Bref, on a tous eu l’occasion de se dire « mais quel con ! » quand il était déjà trop tard… Rassurez-vous : ça arrive aussi aux meilleurs ! Enfin, ça arrive aussi aux moins bons… D’ailleurs, je pense que ça arrive plus souvent aux moins bons qu’aux meilleurs. Mais les footballeurs professionnels connaissent aussi leur lot de blessures à la con. Et je ne veux pas parler des maîtres blessés tels qu’Abou Diaby ou Yoann Gourcuff. Nous allons évoquer ici des joueurs de foot qui se sont plus distingués par une blessure insolite que par des exploits sportifs. Le Yaourt du Sport vous dévoile le Top 5 des blessures les plus stupides de l’histoire du foot !

5. La blessure bête de Canizares : le parfum qui tombe mal

Canizares forfait pour la Coupe du monde 2002On commence avec le gardien espagnol Santiago Canizares. Nous sommes en 2002, quelques jours avant le début de la Coupe du monde. En sortant de sa douche, le portier décide de se mettre un peu de parfum, mais le flacon lui glisse des mains. Réflexe débile de footeux : Canizares tente d’amortir la chute du récipient… avec son pied. Résultat : contrôle en porte-manteau, tendon du pied en lambeaux. Et forfait pour la Coupe du monde 2002. Casillas lui prendra la place de titulaire… et ne lui rendra plus. Canizares se contentera d’avoir marqué l’histoire de la sélection comme étant un peu idiot, de toilette.

 

4. La blessure ridicule de Letizi : lumbago compte triple semaine d’absence

Lionel Letizi, champion de ScrabbleEncore un gardien ! Lionel Letizi, éphémère gardien de l’équipe de France, a réussi à se coincer le dos… en jouant au Scrabble. Lors d’une partie avec ses coéquipiers Laurent Leroy et Jérôme Alonzo, il a voulu ramasser une lettre et crac ! 3 semaines d’absence. Original, d’autant qu’en jouant à un tel jeu, la plupart des joueurs de foot auraient plutôt risqué un claquage au cerveau. Comble de malheur : le mot LETIZI n’est pas valide au Scrabble. Et cette blessure rappelle celle… d’un autre gardien. David Seaman, ancien goal de la sélection anglaise, s’est également bloqué le dos… en voulant ramasser sa télécommande. Gardien de but, un esprit sain dans un corps sain. Continuer la lecture

Mexès, Ibra et Baysse : les vidéos insolites du week-end

Si vous ne devez retenir que deux images de ce week-end de foot, ce sont celles-là… Retour, en vidéos, sur deux faits qui marqueront sans doute à jamais l’histoire du sport. Et de l’humanité.

1) Philippe Mexès

« Bonjour Phillipe Mexès. Vous n’avez pas honte ? » C’est ainsi que pourrait débuter l’interview de Philippe Mexès par Jean-Pierre Elkabach. En effet, samedi, le joueur du Milan AC a légèrement dégoupillé face à la Lazio de Rome. Et plus particulièrement face à Stefano Mauri, capitaine des Biancocelesti (dit comme ça, ça fait classe, hein ? en fait, ça veut juste dire « blanc et bleu »). On joue la fin de ce Lazio – Milan AC : après un accrochage banal, le défenseur français agrippe son adversaire au niveau du cou. Conséquence logique : carton rouge. Jusque là, on reste dans le tristement classique. Mais bien décidé à ne pas en rester là, notre charmant blondinet poursuit sur sa lancée et tente d’étrangler son collègue. En nous gratifiant d’une clé de bras qu’un élève de 5e n’aurait pas reniée. Malheureusement, cela n’ira pas plus loin, puisque ses coéquipiers s’interposent, alors même qu’il était sur le point de balancer une souplesse arrière… Bref, un dérapage étonnant pour un joueur peu coutumier du fait.

2) Zlatan Ibrahimovic et Paul Baysse

Si, il y a 4 ou 5 ans, on m’avait dit que j’assisterais à un duel entre Zlatan Ibrahimovic et Paul Baysse en Ligue 1… Et le pire, c’est que ce dernier a répondu présent, aussi bien dans les duels que dans les joutes verbales (et non verbales). Nous sommes à la fin de ce Saint-Étienne – PSG. Ibra, toujours appliqué, colle une petite semelle discrète à Hamouma le long de la ligne de touche. Bon, pas si discrète que ça puisqu’elle a attiré l’attention de l’arbitre, qui lui met un carton jaune, et surtout celle de son vis-à-vis, Paul Baysse, qui lui exprime sa façon de penser. En des termes vraisemblablement courtois et mesurés. Ce à quoi l’attaquant suédois répond en regardant le nom du défenseur, lui signifiant quelque chose comme : « Qui êtes-vous ? Nous n’avons pas eu l’honneur d’être présentés. Et votre réputation, sans doute flatteuse, n’est pas parvenue jusqu’à moi. » Bon, il ne l’a pas dit, mais c’est certainement ce qu’il voulait plus ou moins dire… Mais loin de se démonter, Baysse réplique en faisant le même geste à Zlatan, l’air de dire… ben, la même chose. Ou « c’est celui qui dit qui est ». Je sais, c’est pas une répartie incroyable, mais j’aimerais vous y voir, vous, face à un mec de 2m et après 90 minutes à essayer de l’empêcher de jouer avec sa balle… A ce jour, nous sommes toujours sans nouvelles de Paul Baysse.

B.

Vidéo : un coup franc tiré à deux !

Vous regardiez, ou regardez toujours, Olive et Tom ? Cette image va vous plaire !

33e journée de Liga (première division espagnole), Villareal – Levante. On joue les arrêts de jeu et le score est toujours de 0-0. C’est donc une super occasion qu’obtient Levante avec ce coup franc à 25m du but. Deux joueurs se rapprochent du ballon : Victor Casadesús et Rubén García. Qui va tirer ? Les deux, mon capitaine ! Excellente inspiration des deux joueurs qui espéraient peut-être frapper plus fort, qui sait… Résultat : une belle frappe, 10m à côté. Travaillé à l’entraînement sans doute.

Vous me direz, à ce moment-là du match, cette mésaventure aura heureusement été sans conséquence… Vous le sentez venir ? Et oui, Levante a perdu 1-0 sur un but, à la 95e minute, de l’attaquant français de Villareal Jérémy Perbet. Qui fait le malin tombe dans le ravin.

B.

Vidéo : Un gardien marque un but de près de 100m !

En voilà un qui aurait largement eu sa place dans notre Top des gardiens buteurs !

L’image du week-end nous vient de Premier League (première division anglaise). 10e journée, Stoke City reçoit Southampton. Et il ne fallait pas arriver en retard puisque dès la douzième seconde de jeu, le score a été ouvert par… Asmir Begovic, le gardien de but de Stoke ! Recevant le ballon dans sa surface, il a alors dégagé (très) loin devant, trompant ainsi, avec l’aide du vent et du rebond, le malheureux goal adverse, Artur Boruc. Cela n’aura toutefois pas suffi à Stoke qui a finalement concédé le match nul 1-1.

Ce n’est pas la première fois qu’un tel événement se produit, mais c’est beaucoup plus rare à un tel niveau ! C’est en tout cas le cinquième but le plus rapide de l’histoire de la Premier League. Et, comme nous le confirme Opta, Asmir Begovic est devenu le cinquième gardien de but à marquer dans le championnat anglais. Pas d’info en revanche sur la position d’Artur Boruc dans le classement des gardiens les plus ridicules de l’histoire. Mais David James peut trembler. Ali Ahamada aussi.

B.